Professionnels de la santé
Voici quelques témoignages de médecins et doctorants en recherche (PhD), à propos du Neurofeedback en général et de la méthode NeurOptimal® en particulier. Leur crédibilité ne peut être mise en cause, ces spécialistes sont tous des personnalités réputées et respectées, et leur contribution dans leurs domaines d’activité respectifs est aisément vérifiable.
Dr. Jean-Pierre Ledru
Psychiatre
« Cette méthode de régulation cérébrale est en mesure d’apporter tant de bienfaits à tant de personnes qu’il est urgent de la faire connaître. »
Allen Darbonne
Ph.D., Malibu, CA
« NeurOptimal® a été un soutien de poids dans mon travail à la Clinique de Psychologie (Clinical Psychologist). J’ai utilisé le Biofeedback pendant de nombreuses années dans mon travail, mais y ajouter NeurOptimal® a été une joie. Non seulement les résultats de l’entraînement ont été excellents, mais le nombre d’effets secondaires positifs a également augmenté de manière significative. Ces effets secondaires positifs qui m’ont été rapportés par mes clients incluent une lucidité, une capacité d’apprentissage, un sentiment global de bien-être, de présence et d’efficacité dans leurs vies. »
Edward O’Malley
Ph.D., Director, Sleep Healthcare of Connecticut
« L’utilisation de NeurOptimal® a été un processus de « changement de vie » pour moi et la vaste majorité de mes patients, amis et membres de ma famille, d’une manière subtile, sans heurt, et même difficile à définir dans certains domaines, tout en étant plutôt direct et tout à fait évident dans d’autres. Mon opinion, en tant que scientifique et clinicien est la suivante : ceci est la technologie la plus puissante, sophistiquée, avancée et non-linéaire disponible pour se transformer à l’heure actuelle. »
Dr. Lise’ DeLong
Cognitive Connections, Greenwood, IN
« J’avais été amenée à intervenir auprès d’une famille… La fille avait neuf ans, et présentait un cas d’autisme plutôt sévère : pas de langage, de terribles excès de colère, au point de battre sa mère et de la laisser meurtrie. L’enfant m’a été envoyée, et nous avons entamé d’intenses séances pendant un mois, généralement à raison de deux fois par jour. Quand nous avons terminé, elle était capable de prononcer des phrases de cinq mots, ne piquait plus de crises de colère, était devenue propre, et pouvait regarder et changer elle-même ses propres vidéos. Cela représentait un changement colossal pour cette famille ! Le comportement de cette enfant s’était considérablement amélioré ; elle faisait des nuits complètes et se sentait heureuse dans la journée. Ses capacités cognitives ont drastiquement changé à la maison, comme à l’école. »
Daniel Amen,
Neuroscientifique clinique, Psychologue pour enfant et adolescent
« D’après mon expérience avec le neurofeedback et le trouble du déficit de l’attention, beaucoup d’enfants parviennent à améliorer leur capacité de lecture. Le neurofeedback aide aussi à réduire leur impulsivité et leur agressivité. »
A la suite d'une étude d'une année portant sur 100 enfants atteints de troubles du déficit de l'attention (TDA) :
« En 38 ans de pratique, je n’ai jamais vu aucune méthode qui parvienne à produire les résultats obtenus par le neurofeedback… J’ai vu des résultats atteints en quelques jours ou quelques semaines qui prenaient auparavant des mois ou des années en utilisant les meilleures techniques disponibles. »
Jack Woodward, Psychiatre
« Les patients rapportent qu’ils dorment mieux et se sentent mieux, ils n’ont plus de crises, ils se contrôlent mieux et ils sont plus performants. C’est efficace pour les blessures à la tête. C’est efficace pour les maladies neurologiques chroniques sans blessure mais avec dysfonctionnement cérébral. Nous avons eu de bons résultats avec la sclérose multiple, l’encéphalopathie toxique (un empoisonnement chimique dégradant le fonctionnement neurologique par exemple), avec les douleurs chroniques, les migraines et la fibromyalgie. »
Jonathan Walker, Neurologue
« Le neurofeedback répond aux critères de l’Académie Américaine de Psychiatrie des Enfants et des Adolescents comme recommandation clinique pour le traitement du trouble du déficit de l’attention et hyperactivité (TDA/H), de l’épilepsie, de l’anxiété (Trouble Obsessionnel Compulsif – TOC, Syndrome de Stress Post-Traumatique, phobies), de la dépression, des difficultés de lecture, et de la dépendance à l’alcool ou aux drogues. Cela suggère que le neurofeedback devrait toujours être envisagé par les cliniciens comme méthode d’intervention pour ces troubles. »
Les rédacteurs de la revue Child and Adolescent Psychiatric Clinics of North America
« Ces dernières années, de nombreux professionnels de la médecine ont écrit des livres rapportant les bénéfices du biofeedback face à différents troubles. En outre, de nombreux psychiatres et neurologues ont intégré le neurofeedback dans leur pratique. Malgré cela, les médecins et les professionnels de la santé encouragent rarement à poursuivre des séances de neurofeedback. Leur scepticisme provient de leur manque d’information, d’expérience et d’expertise en neurofeedback, plutôt que d’un problème d’efficacité de celui-ci. »
Barry Belt, Psychologue
« La littérature scientifique […] suggère que le neurofeedback devrait jouer un rôle majeur dans de nombreux domaines difficiles. A mon avis, si n’importe quel médicament avait fait la preuve d’une efficacité aussi étendue, il serait universellement accepté et largement utilisé… C’est un domaine à prendre au sérieux par tous. »
Frank H. Duffy, Neurologue, Professeur à l’Ecole de Médecine de Harvard,
Directeur du département d’imagerie cérébrale de l’hôpital pour enfants de Boston
« Nous avons réalisé des études décisives indiquant en fin de compte que le neurofeedback fonctionne de façon importante. Le neurofeedback est encore considéré comme une médecine alternative, mais certaines personnes refusent totalement la médecine conventionnelle. Un très grand nombre de gens a vraiment hâte d’utiliser cette méthode. »
Eran Zaidel, Professeur de neuroscience comportementale et cognitive
à l’Institut de Recherche sur le Cerveau de l’Université de Los Angeles
Entraînement de haut niveau
« Le neurofeedback est l’avenir des sports de compétition. Cela ma aidé à me concentrer et à rester détendu malgré la pression. »
Richard Faulds, médaille d’Or aux jeux olympiques de Sydney
« Je pense que toutes les compétitions nécessitent de la concentration. Des échecs aux compétitions de mémorisation et du golf au ball-trap, les champions de demain devront aiguiser leur esprit par le neurofeedback. Le sportif qui ignore cette technologie révolutionnaire sera dépassé. »
Dominic O’Brien, World Memory Champion
« [Le neurofeedback] est un outil qui est ultra complet et ultra puissant. Quand on a un esprit qui cogite beaucoup, ça permet vraiment de recentrer les pensées et d’aller plus loin. C’est un ultra complément à la méditation, c’est un complément à son engagement, que ce soit au niveau de la nutrition, au niveau du sommeil, au niveau du bien-être. […] Ca a vraiment contribué pour moi, en tant qu’athlète, à affiner ce dont j’avais besoin pour aller plus loin. »
Stéphane Tourreau, vice-champion du monde d’apnée
« J’ai commencé à utiliser le neurofeedback 3 mois avant les championnats du monde, l’incluant comme partie intégrante de ma préparation finale où chaque détail compte. A raison d’une séance par semaine, j’ai d’abord ressenti une meilleure acuité visuelle lors de mes sauts. Ma concentration se maintenait plus facilement dans une durée prolongée et la visualisation de ma chorégraphie s’est également trouvée facilitée. Lors de la compétition, le stress m’a peu affecté et j’étais uniquement absorbé par ma performance. Je peux affirmer que le neurofeedback a participé à ma victoire et je le perçois à mon échelle comme un outil indispensable à une préparation de haut niveau où extraire le meilleur de nous-même est nécessaire. »
Noé Pottier, champion du monde de parachutisme en Freefly
« Plusieurs athlètes ne jurent que par [le neurofeedback] et disent que cela améliore leur performance. Parmi eux, la championne de tennis Mary Pierce et le skieur médaille d’or olympique Hermann Maier, sans parler des divers joueurs de l’équipe de football italienne vainqueur de la coupe du monde 2006. Le but du neurofeedback qui devient de plus en plus populaire pour les professionnels comme pour les amateurs est d’entraîner le cerveau de telle sorte qu’un athlète puisse rester concentré en compétition. […] sur tout le territoire américain, des athlètes ont discrètement entraîné leur cerveau [par le neurofeedback]. Presque aucun n’en parlera. J’ai demandé pourquoi au principal fabricant d’équipements. «Ils ne veulent pas que leurs concurrents sachent qu’ils le font» m’a répondu Larry Klein, le cofondateur de Thought Technology à Montréal. «Car ils s’y mettraient aussi et annuleraient leur avantage». »
D.T. Max, Journaliste à Men’s Vogue